Germaine Lacaze dans son atelier de Villeneuve-le-Comte (1943)
(photographies Albert Séeberger – coll. part. artiste)
1940
Lors de l’exode, se réfugie à Bordeaux, puis au Mayne à Salles avec ses parents. Retour à Paris après l’armistice.
Participe au Salon des Tuileries.
1941
Est nommée professeur de dessin à l’Ecole Primaire Supérieure de jeunes filles de Saint-Maur-des-Fossés.
Participe au Salon des Tuileries et au Salon d’Automne.
Au Salon d’Automne … Germaine Lacaze dont une composition montre d’heureuses promesses, œuvre qui nous retient par des qualités de fraicheur, d’impressions et de facture.
Jean VALMY-BAISSE – La petite Gironde – 28 novembre 1941
1942
Participe au Salon de l’Université. Participe au Salon des Tuileries.
1943
Participe à l’exposition de groupe « Paysages de Paris » à la galerie Notre Dame des Champs. Participe au Salon des Tuileries.
1944
Est nommée professeur de dessin au collège Paul Bert à Paris. Participe au Salon des Tuileries.
1945
Depuis cette année, expose régulièrement pendant toute sa carrière aux Salon des Indépendants, Salon d’Automne. Participe au Salon des Tuileries.
1946
Réalise une série de gravures sur Paris, essentiellement le Vème arrondissement. Dernière participation au Salon des Tuileries.
1947
La famille Lacaze s’installe au 2 rue des Arènes Paris Vème. Première participation au Salon de l’Union des Femmes Peintres et Sculpteurs.
1948
Premier voyage en Italie.
Les natures mortes de Lacaze laissent sourdre une force tranquille.
Denys CHEVALIER – Arts – 16 janvier 1948
Germaine Lacaze introduit dans ses toiles une volonté patiente d’équilibre serein.
Gaston DHIEL – La Gazette des Lettres – 24 janvier 1948
1949
Voyages en Navarre et en Castille.
Au Salon des Indépendants, Germaine Lacaze , nature morte : accords puissants et très séduisants de bleus, de verts, de jaunes, de violets.
Charles KUNSTLER- Opéra – 20 avril 1949